Samedi, les benjamines avaient rendez-vous avec leurs homologues de Beaumont pour leur 4ème match de brassage.
Arrivées à Beaumont, les filles ont commencé, comme d’habitude, par se changer… et là… surprise, Lucie, s’étant trompée en prenant le sac de maillots, elles se sont retrouvées avec ceux des… cadettes. Il a donc fallu trouver les moins grands de la série et surtout serrer au maximum les cordons.
Sur le terrain, les filles ne tiennent pas compte de ce désagrément. Elles essaient de se positionner mais la défense ne tient pas face aux « grandes » de Beaumont. D’autant que le manque de réussite au shoot entraine immanquablement un contre gagnant pour Beaumont. Pourtant les Issoiriennes s’appliquent en attaque. En milieu de quart, elles arrivent à revenir au score en inscrivant 3 paniers d’affilée. 10 à 8 à moins d’une minute de la fin du quart, elles résistent. Mais Beaumont confirme son avantage ; 1er quart : 14 / 10
Le 2ème quart est à peu prés équivalant au 1er. Les Issoiriennes ne sont pas précises dans les passes, perdent beaucoup de ballons. Elles encaissent 3 paniers à 0 pendant la première partie du quart. A ce moment, nous voyons la réaction de l’équipe d’Issoire. Les filles sont un peu plus appliquées en défense. Elles arrivent à mieux contrôler le jeu. Elles perdent néanmoins ce quart : 12 / 9
Au retour de la pause, le jeu d’Issoire est complètement désorganisé : Les shoots sont imprécis, la défense quasi inexistante, sans marquage, les attaques sont individuelles. Issoire craque alors que Beaumont assure avec un jeu plus rapide et plus précis surtout lors de la conclusion.
Issoire s’incline 16 / 9 dans la 3ème manche.
Le 4ème quart est en sens unique. Beaumont contre et marque. Beaumont joue en passe et marque. Beaumont défend et ne laisse rien passer. En un mot, Beaumont joue collectif alors qu’Issoire se perd dans un jeu trop individualiste. Un petit sursaut d’orgueil à la fin du match avec 2 paniers inscrits côté Issoirien. Mais le score du 4ème quart est sans appel : 18 / 6
Score final : 60 à 34.
Hélène